Ce qui est merveilleux en informatique (ou tragique, que ne sais-je), c’est la quasi certitude qu’une panne ou un problème va vous tomber dessus le seul moment où l’on a prit aucune précaution. Vu le titre de l’article, c’est forcément le jour où on fait un truc relativement simple qu’on perd toutes ses données, photos et contacts téléphoniques.
Je voulais rooter le téléphone de Madame, opération que j’avais déjà effectué sans soucis une dizaine de fois, sur des modèles variés, dont le mien, qui est exactement le même que le sien. Bien entendu, comme c’est une opération que je « maîtrise », pas de sauvegarde du système, ni des contacts, ni des photos, ni de rien. Ça n’a pas loupé, j’ai fais une erreur et j’ai du tout formater. Et comme elle n’avait pas de carte SD, rien n’a pu être épargné.
Moralité : l’orgueil c’est mal. Faîtes des sauvegardes.
En réinstallant Archlinux aujourd’hui, j’ai eu une flopée d’erreurs en tentant de lancer xorg. Il se plaignait de commandes non trouvées, dont xinit . La solution était toute simple, il suffisait d’installer xterm et ça marche impec. Ah, les joies de Linux.
Je suis un grand débutant en JavaScript, mais je tente d’utiliser un maximum la dernière version du langage, de même que je remplace mon utilisation de jQuery basique par du VanillaJS.
Sauf que je n’arrivais pas à faire fonctionner les strings templates. Mes variables n’étaient pas parsées pour la simple et bonne raison qu’il ne faut pas utiliser les guillemets simples '` mais les caractères accent grave. C’est tout bête, surtout que y’avait un exemple dans le code, sous mes yeux. Mais c’est comme ça quand on débute.
L’essentiel, c’est que je m’éclate avec Nodejs et Electron !
Depuis quelques temps, je m’amuse avec Node.js et notamment Electron, un framework permettant de faire des applications natives en HTML, CSS et JavaScript. L’application tourne dans un conteneur Chromium, ce qui permet d’avoir accès à tout ce qu’on connait des applications front-end classiques comme jQuery ou les dev tools.